« Mittal gagnant » : coup de froid dans le secteur de la sidérurgie !

En période de crise, l’État peut-il utiliser l’outil des nationalisations pour venir en aide aux employés désemparés d’une usine dont le patron souhaite arrêter toute activité ? Telle est la question qui a passionné l’ensemble des media ces dernières semaines. À l’issue de ce bras de fer entre Arcelor-Mittal, les syndicats et l’État, une nationalisation a d’abord été envisagée puis abandonnée. Malgré les annonces très (trop) médiatisées d’un Arnaud (de) Montebourg en quête de légitimité populaire, seul un accord d’investissement de près de 180 millions d’euros a pu être négocié avec le « sulfureux » Lakshmi Mittal, président du groupe. Cette affaire permet de faire le point sur deux questions essentielles : la nationalisation était-elle réellement envisageable ? L’accord ainsi obtenu n’est-il pas un « faux-nez » dépourvu de tout effet juridique ?

Lire la suite sur Dalloz-etudiant.fr

Ce contenu a été mis à jour le 17 juin 2015 à 16 h 49 min.

Commentaires

Laisser un commentaire