Un homme, un code… ou la déontologie thérapeutique

En pleine crise de confiance, la démocratie représentative doit redorer son blason auprès de citoyens qui ne croient plus dans leurs élus et qui doutent de leur action dans l’intérêt général. L’un des remèdes miracles : prévenir et guérir les conflits d’intérêts. Pour ce faire, rien de tel qu’un bon code de déontologie et un bon déontologue pour en assurer le respect. C’est l’option qui a été récemment choisie par le bureau de l’Assemblée nationale qui dévoile dans sa décision du 6 avril 2011 son homme et son code.

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Ce contenu a été mis à jour le 17 juin 2015 à 18 h 28 min.

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